VOTRE ESTOMAC EN EQUILIBRE, LES CLES POUR UNE BONNE SANTE DIGESTIVE

Imaginez un orchestre où chaque instrument joue un rôle crucial pour créer une harmonie parfaite.

Dans notre organisme, l’estomac est comme ce chef d’orchestre, dirigeant la symphonie de la digestion. Pourtant, lorsque ce maestro rencontre des difficultés, c’est toute la mélodie de notre bien-être qui peut être perturbée.

Brulures, remontées acides, ballonnements, sensation de barre qui coupe la respiration… tous ces signes doivent vous alerter.

Qu’ils soient passagers ou chroniques, les maux d’estomac sont des signaux que notre corps nous envoie que nous devons écouter.

Que se cache-t-il vraiment derrière ces douleurs et ces inconforts ?

Quels sont les mystères de la physiologie de l’estomac, et comment les pathologies peuvent-elles perturber son fonctionnement ? Comment certaines affections de l’estomac peuvent être liées à d’autres pathologies affectant d’autres parties du corps ? 

Et si les solutions se trouvaient dans la nature et dans notre assiette ?

Embarquons ensemble pour un voyage au cœur du premier vaisseau de notre système digestif à la découverte des solutions simples et naturelles pour un estomac en pleine santé.

L’estomac est un organe clé du système digestif, situé dans la partie supérieure de l’abdomen, principalement du côté gauche. Voici un aperçu de son anatomie :

1) Forme et structure :

L’estomac est un organe musculaire creux en forme de J.

Il est divisé en plusieurs parties : le cardia (où l’œsophage se connecte à l’estomac), le fundus (partie supérieure), le corps (partie principale) et l’antre (qui se termine par le pylore menant au duodénum).

2) Parois de l’estomac :

La paroi de l’estomac est composée de plusieurs couches : muqueuse (la couche interne qui sécrète le suc gastrique), la sous-muqueuse (contient des vaisseaux sanguins et des nerfs), la musculeuse (composée de muscles lisses qui permettent le brassage des aliments un peu comme le tambour d’une machine à laver !) et enfin, la séreuse qui constitue la couche externe, protectrice de l’estomac.

3) Le rôle de l’estomac :

Le pH « normal » de l’estomac est très acide car il se situe entre 1 et 3. Au cours de la digestion des protéines, le pH passe à 1,5 c’est-à-dire que l’on ne pourrait pas mettre le doigt sans risquer de graves brûlures ! Heureusement, la couche épaisse qui tapisse l’estomac (le mucus) empêche cet acide de toucher les autres organes qui risqueraient d’être endommagés.

Les principaux rôles de l’estomac sont de :

a) Digestion mécanique

Les muscles de l’estomac se contractent pour laisser passer les aliments, les mélangeant avec les sucs gastriques, pour former le chyme, une substance semi-liquide.

b) Digestion chimique

Les glandes de la muqueuse gastrique sécrètent des sucs gastriques qui contiennent de l’acide chlorhydrique (HCl) et des enzymes comme la pepsine.

L’acide chlorhydrique aide à décomposer les aliments et à tuer les bactéries, tandis que la pepsine commence la digestion des protéines.

c) Absorption

Bien que l’absorption principale des nutriments ait lieu dans l’intestin grêle, l’estomac absorbe certains médicaments et substances comme l’alcool et l’aspirine.

d) Protection

La muqueuse gastrique produit également du mucus et des bicarbonates pour protéger la paroi de l’estomac contre l’acide et les enzymes digestives.

Même si les symptômes (brulures et remontées acides) sont bien souvent confondus, ils peuvent cacher des pathologies bien différentes.

Les troubles de l’estomac ou « dyspepsie », traduisent un dysfonctionnement de l’estomac. Celui-ci peut avoir plusieurs causes, mais dans la majorité des cas, le grand responsable des troubles consiste en un déséquilibre de l’acidité de l’estomac (pH). L’estomac peut être trop ou insuffisamment acide. On parle alors d’hypochlorhydrie ou d’hyperchlorhydrie.

Cette pathologie de l’estomac est bien plus fréquente qu’on ne le croit. La majorité des personnes souffrant de brûlures ou de remontées gastriques (RGO) pensent qu’ils ont trop d’acidité alors que bien souvent c’est le contraire.

Une carence en HCL induit la formation d’acide lactique, d’acide pyruvique et de composés du soufre, substances qui provoquent une sensation de brulures dans l’estomac.

Les symptômes de l’hypochlorhydrie :

- Sensation de « barre » de lourdeur au niveau de l’estomac après un repas même léger

- Ballonnements, gaz

- Digestion longue, difficile et douloureuse

- Eructations, remontées acides

- Brûlures

- Constipation et/ou diarrhées

- Fatigue prolongée

- Rougeurs de la peau

Une des causes fréquentes mais sous-estimée de l’hypochlorhydrie : l’hypothyroïdie :

Un simple ralentissement de la thyroïde, ou la maladie auto-immune d’Hashimoto, a une incidence directe sur le milieu acide de l’estomac et plus généralement le système digestif. La production d’acide chlorhydrique dépend en effet de cette glande hormonale.

Les personnes concernées par une hypothyroïdie ont bien souvent des problèmes d’estomac et des troubles digestifs associés : brûlures d’estomac, reflux acide, ballonnements, gaz, constipation. On retrouve ainsi bien souvent une hypothyroïdie et une hypochlorhydrie dans les cas de SII, SIBO ou de candidose. 

En redonnant à la thyroïde les cofacteurs nécessaires à son fonctionnement, soit du sélénium, du zinc et du fer, de l’iode, de la vitamine D et la B12, on améliore nettement ces symptômes.

On peut également apporter l’antioxydant principal protecteur des glandes de la thyroïde, la Superoxyde Dismutase (SOD), extraite du melon.

Tout comme l’hypochlorhydrie, le pH de l’estomac peut être modifié par une mauvaise alimentation, un stress, un arrêt brutal des IPP. En cas d’hyperacidité de l’estomac le contenu du bol alimentaire en train d’être digéré remonte dans l’œsophage ce qui provoque un RGO (reflux gastro-œsophagien) avec des brûlures. L’hyperchlorhydrie est responsable des ulcères, RGO, cancers de l’estomac.

Hypo ou hyperchlorhydrie ? Comment savoir ? Il est parfois difficile de distinguer une hypo d’une hyperchlorhydrie car certains symptômes sont identiques comme les brûlures. Vous pouvez faire un test tout simple à la maison :

1⁄4 de cuillère à café de bicarbonate de soude dans un verre d’eau à boire à jeun.

Si vous rotez immédiatement, votre pH est trop acide (hyperchlorhydrie)

Si vous rotez dans les 2 minutes, votre pH est normal

Si vous rotez entre 2 et 5 minutes, le pH est trop alcalin (légère hypochlorhydrie)

Si vous constatez qu’il n’y a pas d’éructation après 5 minutes, vous êtes en hypochlorhydrie sévère.

Si pas de rot du tout au-delà de 5 minutes, vous êtes en achlorhydrie. Dans cette hypothèse il vaut mieux consulter un médecin.

Nous l’avons vu, le défaut d’acide chlorhydrique empêche la destruction des bactéries pathogènes dans l’estomac, ce qui favorise leur prolifération.

L’une d’elles, l’Helicobacter Pylori aime particulièrement s’installer dans les parois de l’estomac lorsque le terrain lui est favorable.

Cela provoque alors des nausées et des vomissements importants. Pour s’en débarrasser il est parfois nécessaire de passer par un traitement antibiotique mais il est primordial de rééquilibrer l’acidité de l’estomac pour éviter les récidives.

Les Solutions naturelles contre l’Helicobacter Pylori :

Rééquilibrer le milieu acide de l’estomac,

Avoir recours à un complément à base de probiotiques Lactobacillus Reteuri très efficaces pour lutter contre l’Helicobacter Pylori.

Mycothérapie ++ (Hericium-Shiitake)

Restaurer la barrière intestinale

Les hernies se produisent lorsque la partie supérieure de l’estomac fait saillie à travers le diaphragme dans la cavité thoracique.

Dans le cas d’une hernie hiatale, une partie de l’estomac pousse à travers le hiatus œsophagien.

Les symptômes d’une hernie hiatale peuvent inclure des brûlures d’estomac ; des régurgitations acides, des douleurs thoraciques ou abdominales, des difficultés à avaler. Cependant il est tout à fait possible de n’avoir aucun symptôme.

Avant d’envisager une intervention chirurgicale, il sera intéressant d’envisager de réduire l’acidité de l’estomac par l’hygiène de vie, l’alimentation, la gestion du stress comme nous allons le voir ci-après.

Les aliments gras, épicés, l’alcool ou le café, les aliments acides ou très sucrés sont considérés comme des aliments inflammatoires pour votre estomac.

Il est très important d’adopter une alimentation anti-inflammatoire (cf ci-après) suffisamment riche en fibres, en céréales complètes, en légumes et fruits frais, en protéines végétales ou animales (pauvres en acide urique : viandes blanches, volailles, poissons et œufs).

Je ne cesse de le répéter à mes consultants, la digestion commence dans la bouche !

Toute digestion commence par le travail de mastication.  Celui-ci a pour rôle indispensable de préparer le travail de digestion pour l’estomac et les intestins. Les dents ont pour fonction de broyer, diviser les aliments, et la salive, grâce à la présence des enzymes digestives, va permettre une prédigestion. La salive dispose également de propriétés antibactériennes et réveille nos papilles gustatives, c’est-à-dire le goût permettant d’identifier les saveurs d’un aliment.

Plus vous mastiquez, plus vous gardez longtemps en bouche les aliments, plus les propriétés de la salive auront l’occasion de produire leurs effets. Le bol alimentaire arrive dans l’estomac à l’état de « bouillie », état idéal pour lui faciliter la tâche.

De plus, manger plus lentement en prenant le temps de mastiquer les aliments permet de ressentir la sensation de satiété avant d’avoir ingurgité trop de nourriture. C’est donc bénéfique pour votre digestion et pour mieux contrôler votre poids !

Manger trop tardivement le soir peut provoquer une succession d’inconvénients sur votre digestion ainsi que sur la qualité de votre sommeil

·        Digestion ralentie : pendant la nuit, le processus de digestion ralentit. On note ainsi une baisse des sécrétions gastriques à partir de 19h liée à l’augmentation de la sérotonine, l’hormone du sommeil.  Manger tard peut donc entraîner une indigestion ou des brûlures d’estomac.

·        Reflux acides : s’allonger peu de temps après avoir le repas peut faciliter le reflux acide, provoquant de brulures et un inconfort.

·        Troubles du sommeil : Parce qu’elle demande beaucoup d’énergie, la digestion peut perturber le sommeil car les cellules digestives « travaillent » au lieu de se mettre au repos et perturbent la fabrication de la sérotonine.

·        Prise de poids : Des études suggèrent que manger tard facilite la prise de poids car le corps étant moins actif la nuit, il brûlera moins de calories et aura tendance à les stocker sous forme de graisse.

·        Manque d’appétit le matin : les personnes qui mangent trop tard le soir déclarent souvent ne pas avoir faim le matin et être « barbouillées ». Cela signifie que l’estomac n’a pas pu faire correctement son travail et que le repas de la veille n’est pas encore digéré !

Si vous n’avez pas le choix sur votre horaire de votre repas du soir, mangez plus léger et prenez un bon petit déjeuner le lendemain matin !

Le problème de la soupe du soir : Certaines personnes âgées se plaignent de remontées acides après avoir consommé de la soupe et des veloutés. Effectivement, en présence de cette baisse d’acide gastrique et donc du fonctionnement de l’estomac, le bol liquide des aliments broyées peut faire bloc et provoquer des remontées. Il est préférable, dans ce cas de manger des soupes non mixées.

En vieillissant, la production d’acide chlorhydrique (HCL) diminue ce qui peut entraîner une augmentation du pH de l’estomac, le rendant moins acide, soit une hypochlorhydrie.

Parallèlement, la muqueuse gastrique a tendance à s’atrophier, ce qui réduit le nombre de cellules pariétales responsables de la sécrétion d’acide gastrique.

Cet environnement moins acide peut réduire la capacité de l’estomac à tuer les bactéries et autres pathogènes ingérés augmentant ainsi le risque d’infections gastro-intestinales.

Les traitements de longue durée, notamment les IPP (inhibiteurs de la pompe à protons), habituellement conseillés contre les ulcères gastriques ou pour réduire les effets secondaires d’autres médicaments, modifient le pH de l’estomac.

Une utilisation prolongée des IPP peut entraîner une diminution de l’absorption de certains nutriments, notamment le magnésium, le calcium et la vitamine B12 due à la réduction de l’acidité gastrique.

Cette réduction de l’acidité, nous l’avons vu, peut augmenter le risque d’infections gastro-intestinales et respiratoires.

En raison de la mauvaise absorption du calcium, certaines études mettent en relief le risque accru de fractures osseuses, en particulier de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale.

De plus, l’utilisation des IPP est en lien avec un risque cardio-vasculaire, risque de maladie rénale chronique et d’insuffisance rénale aigue.

A noter que l’arrêt brutal des IPP peut entraîner une augmentation significative temporaire de la production d’acide gastrique pouvant aggraver les reflux.

Sachant que ces IPP sont bien souvent prescrits en parallèle d’autres traitements médicamenteux car ils sont censés empêcher les effets secondaires de ces derniers, nous nous retrouvons dans bien des cas dans une sur médication au long terme inutile voire dangereuse.

A noter que les personnes âgées ont bien souvent un traitement médicamenteux au long cours, ce qui se rajoute à leur déficience en acide chlorhydrique (LCl) liée au vieillissement.

Il n’est parfois pas possible de faire autrement, mais il existe de nombreuses solutions naturelles pour rééquilibrer l’acidité de l’estomac, même avec une prise concomitante de médicaments.

La consommation excessive d’alcool, de sucres, de gluten, ainsi que les troubles du comportement alimentaire (TCA) comme l’anorexie, la boulimie ou l’hyperphagie. Ces troubles sont multipliés lorsqu’ils sont accompagnés de vomissements.

Les vomissements fréquents ont en effet un impact significatif sur l’acidité de l’estomac et sur l’équilibre acido-basique général de l’organisme.

·        Sur les dents : la sphère bucco-dentaire est rapidement atteinte avec une érosion de l’émail des dents (dents jaunes ou transparentes), des caries, des gingivites.

·        Perte d’acide gastrique : les vomissements entraînent souvent l’expulsion du contenu acide de l’estomac. Cela peut entraîner une perte d’acide chlorhydrique (HCl).

·        Endommagement de l’œsophage : en raison de l’exposition répétée à l’acide gastrique, la muqueuse œsophagienne peut se trouver enflammée, jusqu’à provoquer des lésions très douloureuses.

·        Alcalose métabolique : la perte d’acide gastrique peut entraîner une alcalose métabolique, une condition dans laquelle le pH sanguin devient plus alcalin (augmentation du pH). La perte d’acide réduit la concentration d’ions hydrogène dans le corps.

·        Déséquilibre électrolyte : les vomissements entraînent une hypokaliémie c’est-à-dire un faible taux de potassium ainsi qu’une hypochlorémie, soit un faible taux de chlore, qui aggravent l’alcalose métabolique. Un taux faible de potassium peut provoquer de nombreux dégâts en cascade, notamment un arrêt cardiaque.

·        Effets sur la digestion : la réduction de l’acidité gastrique joue un rôle crucial dans la décomposition des protéines et l’activation des enzymes digestives.

·        Déshydratation : enfin les vomissements répétés provoquent une déshydratation pouvant affecter la fonction rénale et aggraver les déséquilibres électrolytes.

Le stress chronique déséquilibre l’ensemble de l’organisme, et modifie le pH normal des organes. Une situation de stress répétée ou un choc émotionnel important peuvent être responsable d’une hypochlorhydrie ou d’une hyperchlorhydrie. En effet, l’estomac est l’organe aux premières loges du stress !

En activant le système nerveux sympathique, le stress augmente immédiatement la production d’acide chlorhydrique dans l’estomac, ce qui provoque des brûlures et des reflux acides.

De même, le stress peut ralentir le processus de vidange de l’estomac, ce qui signifie que les aliments restent plus longtemps dans l’estomac entraînant des ballonnements, des nausées et des douleurs gastriques.

 Mieux gérer son stress ou ses émotions est donc primordial pour préserver la santé de votre estomac.

Une alimentation respectant l’équilibre acido-basique (ou anti-inflammatoire) peut considérablement réduire vos problèmes d’estomac !

Commençons par faire la chasse aux champions de l’acidité comme le café, l’alcool et les boissons gazeuses, les épices, le chocolat et les aliments industriels trop gras et trop sucrés ou salés.

Intégrer régulièrement aux principaux repas des légumes crus et/ou cuits midi et soir.

Réduire la consommation de viandes rouges (bœuf, porc, agneau, magret de canard) à maximum 3X/ semaine et de préférence le midi et pas le soir.

Consommer plus de protéines végétales comme des oléagineux et des légumineuses avec des légumes.

Réduire les acides gras saturés en les remplaçant par des bons acides gras insaturés comme les omega 3, 6 & 9.

Réduire la consommation de sucres en privilégiant les sucres à index glycémiques bas comme le Yacon, la stévia ou le xylitol.

Adopter un petit-déjeuner protéiné salé avec des œufs, du jambon, du fromage artisanal…

Privilégier le pain au levain par rapport aux pains fabriqués avec des levures.

Réduire la consommation de féculents comme les pâtes blanches, le riz blanc ou le maïs, trop riches en amidon, substance inflammatoire au même titre que le gluten.

Le site https://manger-sante.com/choix-nutritionnels propose, dans la rubrique « Choix Nutritionnels » un régime « anti-inflammatoire » ou « Equilibre acido-basique ». Vous bénéficiez ainsi d’un choix de recettes idéales pour préserver votre estomac.

Il existe de nombreuses solutions totalement naturelles pour rééquilibrer le milieu acide de l’estomac.

Dans l’hypothèse d’une hypochlorhydrie, on cherchera à retrouver une acidité suffisante avec de la Bétaïne HCL, et de l’acide glutamique en vue d’améliorer la qualité de la muqueuse intestinale.

Pour une hyperchlorhydrie, il sera bénéfique de prendre des compléments à base de minéraux qui feront « tampon » à l’excès d’acidité comme les citrates ou carbonates de calcium, magnésium, l’algue lithothamne qui bénéficie d’un excellent pouvoir reminéralisant.

Le gel d’aloe vera à prendre avant les repas, a un effet cicatrisant anti-inflammatoire très intéressant.

Le Gamma-oryzanol, un actif dérivé du riz aux propriété cicatrisantes de la muqueuse est particulièrement intéressant ainsi que la Chlorophylline, qui diminue la quantité d’acide lactique dans l’estomac.

Ces solutions ont l’avantage de ne pas perturber davantage le milieu acide de l’estomac, et donc de favoriser la fabrication sels biliaires.

• N'hésitez pas à me consulter pour bénéficier de conseils adaptés à votre cas et obtenir un protocole complet incluant des conseils en alimentation et un protocole sur plusieurs mois. 

Vous l’avez compris, un déséquilibre du milieu acido-basique de l’estomac peut être à l’origine de nombreuses pathologies, en commençant par le syndrome de l’intestin irritable (SII).

Pour améliorer vos symptômes, les traitements traditionnellement proposés s’avèrent inutiles, voire dangereux, sans avoir une approche globale de cet équilibre acido-basique.

Une approche plus globale, qui respecte cet équilibre acido-basique aura toutes les chances d’avoir un effet bénéfique durable sur votre estomac, et donc votre digestion.